La légende continue : le chronographe KonTiki est aujourd’hui réinterprété par la manufacture horlogère suisse Eterna. Tout en arborant une nouvelle esthétique de cadran, ce modèle légendaire est présenté dans une version inédite en PVD noir. Poursuite de l’aventure pour une sportive de style . . .
Un cadran redessiné
A l’identique de son prédécesseur par la forme et la taille (42 mm) du boîtier, ce nouveau chronographe KonTiki met en lumière un cadran sobre, conjuguant lisibilité et fonctionnalité. Se détachant d’un fond uniformément noir, les index – ponctués de points lumineux blancs et complétés d’une graduation des minutes – offrent une lecture précise de l’heure. Recouvertes également de substance luminescente blanche, les aiguilles des heures et des minutes assurent une parfaite visibilité, y compris dans de faibles conditions d’éclairage. Orchestrant l’ensemble, les compteurs des heures, minutes et secondes se singularisent par la présence discrète des célèbres triangles, signes de reconnaissance de toute KonTiki originale. Respectivement positionnés à 6 heures, 12 heures et 9 heures, ils enregistrent des temps jusqu’à 11 heures, 59 minutes et 59 secondes ! Finalisé d’une date à 4 heures, ce nouveau cadran joue subtilement le contraste des couleurs pour donner, en toutes circonstances, une lecture rapide des informations.
Toujours aussi robuste, ce chronographe automatique, équipé du calibre ETA 7750, est doté d’un boîtier, étanche à 200 mètres, pour le protéger de tous les risques y compris les poussières les plus fines. Proposé en acier inoxydable, ce garde-temps Eterna est désormais disponible aussi en PVD noir. Quelle que soit la version choisie, il a su conserver l’héritage de son passé. En hommage à l’exploit auquel il doit son nom, le fond de boîte est gravé d’un médaillon représentant le radeau avec lequel Thor Heyerdahl a réalisé son expédition . . .
Un chronographe empreint d’un passé légendaire
L’histoire naît de la traversée du Pacifique par l’ethnologue Thor Heyerdahl. Selon lui, la culture polynésienne est apparue au Pérou. Pour prouver cette hypothèse, il décide de construire un radeau sur un modèle Inca : le Kontiki. Cinq équipiers se joignent à lui, le 28 avril 1947, pour traverser une des mers les plus hostiles. 97 jours et 7 600 km plus tard, ils amarrent sur l’atoll de Raroia, secondés par une montre ETERNA au poignet ! Depuis, toutes les montres « sport » de la marque Eterna portent le nom « KonTiki ».