Par son mécanisme inédit, l’Occhio Ripetizione Minuti – dévoilée en 2005 – a marqué de son empreinte l’univers de la haute horlogerie. La maison de GRISOGONO revisite aujourd’hui ce modèle emblématique produit en série limitée avec une déclinaison scintillante du boîtier, désormais serti d’une pluie de diamants baguette.
de GRISOGONO rend cette année hommage à l’une de ses réalisations les plus exclusives en dévoilant une nouvelle interprétation esthétique de l’Instrumento Occhio Ripetizione Minuti. Reine des complications, la répétition minutes trouve ici une interprétation magistrale. Inspiré du diaphragme d’un appareil photo reflex, son cadran doté de 12 volets mobiles en titane s’ouvre et se referme à la demande, laissant apparaître le mouvement le temps de la sonnerie.
Tandis que la montre arborait jusqu’à présent des lignes empreintes d’une grande sobriété, elle présente aujourd’hui une nouvelle facette de sa personnalité avec un sertissage de 154 diamants baguette (pour un total de 18 carats) sur la lunette, les flancs du boîtier et les cornes. Un habit de lumière qui joue la carte des contrastes et met en valeur l’originalité de la mécanique extrêmement complexe de ce garde-temps hors norme.
Mécanisme exclusif
Les éléments techniques qui ont fait la renommée de l’Occhio Ripetizione Minuti restent cependant identiques. Le module exclusif à diaphragme de cette montre d’exception est plus fin et plus résistant que celui des appareils photographiques bien qu’il fonctionne selon le même principe dans un mouvement d’ouverture/obturation instantané. Il s’ouvre par l’action simultanée des 12 volets dès l’armage de la répétition minutes pour se refermer aussitôt après l’indication des heures, des quarts et de minutes par sonnerie sur trois timbres.
Magie mécanique
Puisqu’elle fait la part belle à la magie de sa mécanique, l’Occhio Ripetizione Minuti joue en tous points la transparence. Le fond saphir bombé tenu par six vis permet d’admirer le jeu des trois marteaux sur les timbres et la décoration du mouvement. Sur l’autre face, un verre saphir sphérique particulièrement bombé – à l’image de l’optique d’un appareil photo – offre une visibilité surprenante sur le diaphragme et, lorsque ce dernier est ouvert, sur le jeu mobile des râteaux, bascules et ressorts. Reflet du soin extrême apporté à la finition de ce mouvement qui joue sur le contraste et la dynamique, les ponts et platines sont de couleur anthracite, les vis polies brillantes tandis que les parties mobiles apparaissent dans les teintes de leurs matériaux d’origine. Autant de détails visuels auxquels le nouveau sertissage du boîtier rend hommage. En toute élégance.
de GRISOGONO’s Occhio Ripetizione Minuti, introduced in 2005, proved a milestone in Haute Horlogerie design. Today, its maker is issuing a new limited series featuring a splendidly adorned case set with a multitude of baguette diamonds.
The novel styling approach unveiled by de GRISOGONO is meant as a salute to one of its most ambitious and exclusive creations, the Instrumento Occhio Ripetizione Minuti. Undisputed Queen of Complications, this exceptional minute repeater’s new and masterful interpretation features a mechanism inspired by a reflex camera’s. Formed by twelve mobile titanium blades, the diaphragm opens and closes at will, revealing the movement for the duration of the chimes.
While up to now the repeater has only been available with cool, understated styling, de GRISOGONO has just given its personality a dazzling makeover, setting 154 baguette-cut diamonds (totalling 18 carats) on the bezel, case flanks and lugs. This spectacular “suit of lights” contrasts dramatically with its highly complex mechanical systems.
An exclusive mechanism
The technical features that make the Occhio Ripetizione Minuti such an exceptional timepiece remain the same. Although it works on an identical principle, its exclusive diaphragm subassembly is more compact and resistant than those of cameras, opening and shutting instantaneously. It opens by the simultaneous movement of all twelve blades the instant the minute repeater is triggered, closing as soon as the hours, quarters and minutes have sounded on three gongs.
Mechanical wizardry
Since it is designed to display its mechanical wonders, the watch has nothing to hide. Its curved sapphire case back secured by six screws reveals the movement of the three hammers on the gongs and the movement’s exclusive decorative patterns. On the front, a sharply curved sapphire crystal, not unlike a camera lens, reveals the play of racks, levers and springs. Testifying to the movement’s meticulous finish, its bridges and plates are anthracite gray and screwheads brightly polished, while moving parts retain the natural colour of the material they are made of – all visual refinements enhanced by the case’s splendidly shimmering dress. Elegance reigns supreme.